Il y a un début à tout - Cinquième épisode (Jamais terminé) #Fiction5

/!\ Chapitre provenant de mes articles hors-ligne, il n'est donc pas finit /!\
Fiction de mon blog Sanji-Love-Zoro posté le mardi 9 juillet 2013 à 23:42.
Avec Zoro et Sanji.

Puis je m'endormis.
Je ne rêve plus. Je ne peux plus rêver. Plus d'imagination. Mes sommeils sont tous agités. Je n'ai plus de force. Plus de pensées. Je me sens comme un macchabé. Sans vie. Rien dans le regard. Vide de l'intérieur. Bon qu'à dormir. Pourquoi dois-je arrêter ? Avec je suis bien mieux ! C'est vrai que les drogués sont mals vus. Mais pourquoi veut-il m'aider ? Peut-être que... C'est ce qu'il m'a fait comprendre hier soir. En parlant d'hier soir. On doit être le matin. Il faut que je me réveil. Réveil toi. Aller Sanji debout. Ouvre les yeux. Je vois de la lumière. Un souffle cour dans mon cou. Je vois flou. Je cligne des yeux pour mieux voir. Je sens une chaleur sur mon côté gauche. Il est encore là ? Je tourne la tête. Oui. Il dort encore. Paisiblement. Comme un enfant. Il a sa bouche ouverte. Voyons voir. Je met un doigt entre ses dents. Mauvaise idée. Il ne dort pas tellement finalement. Il me mort le doigt. Aïe. Il ne lâche pas prise. Je le bouge dans tout les sens. Rien à faire. Il ne veut pas me lâcher. Mais arrête !
-Zoro...
J'ai réussi à parler. Il ouvre les yeux et me regarde. Je me force pour parler.
-Lâche... S'il te plaît 
Il rouvrit sa bouche pour libérer mon doigt. J'ai les marques de ses dents sur tout le long. J'espère qu'il ne mord pas tout ce qu'on lui présente... Il sort du lit et me prend dans ses bras. Comme une princesse... Il passe la porte de la chambre, le couloir et arriva dans le salon. Il me dépose sur le canapé. Il va dans la cuisine et revient avec une petite boîte. 
-Chopper est passé hier quand tu t'étais évanoui
Il ouvrit la boîte et en sortit un sachet de thé.
-Je lui ai expliqué ce que tu avais et il a fabriqué un thé spéciale pour toi 
Il alla me chercher une tasse, de l'eau chaude et me prépara le thé. Moi je l'observais. Il me fascine. Quand il eût fini, il prit la tasse et s'assis à côté de moi. 
-Ouvre la bouge 
J'ouvre. Il me fit boire la tasse entière. Il rangea la tasse au sale et revint à côté de moi.
-Bon, parlons sérieusement
De quoi il parle ?
-De ce qui s'est passé hier soir
Hier soir ? Oui et ?
-Ne penses pas que je suis pervers et que je fais ça avec tout mes élèves, non
Mais moi je m'en fiche que tu sois pervers, dû moment que je t'ai toi.
-
Et j'étais fatigué donc je savais pas trop ce que je faisais
En temps normal je l'aurais embrassé pour qu'il se taise mais là je ne peux pas. J'ai une idée ! Et pouf. Je me laissa tomber sur lui. Sauf que... Ma tête n'a pas atterrie là où je pensais... Au lieux d'être sur ses genoux elle est plus haut. Mais j'arrive pas à me relever. Il ne bouge plus. Sans doute surpris et gêné. C'est pas le cas de son copain. Je le sens se durcir. Relève moi bordel ! Ah enfin. Il me relève. Me regarde. 
-Tu voulais faire quoi ?
-Te faire taire
J'ai parlé !
-Ça va mieux ?
-Je... Crois ?
Je bouge. Ma main droite. Elle bouge ! BAM. Ohoh. Elle bouge un peu trop là.
-Et pourquoi cette baffe ?
-Un test ?
-...
Je souris. Je peux enfin sourire.
-Mais pourquoi je peux que maintenant utiliser mon corps ?
-Quelque chose à dû te débloquer
Je rougis. Lui aussi.
Silence.
-T'a faim ? Je vais te préparer un truc à manger
Je l'attrapa par le bras et tira dessus de façon de l'avoir à 2 centimètres de mon visage. Dans un mouvement brusque je l'attrapa par le col et le balança sur le canapé pour me m'être à califourchon sur lui. Il est encore plus rouge que d'habitude. J'ai retrouvais toute ma force. Et lui est à ma merci. 
-Qu'est-ce que ...
Je l'embrassa. Ma langue essaya de forcer le passage de ses dents. Elle réussit. Elle danse avec celle du citron vert. Puis sans quitter sa bouche, je descendit mes mains jusqu'à son pantalon. Sa braguette devenait trop petite et commençait à s'ouvrir toute seule. La ceinture du vert était trop encombrante. Je décida donc de l'enlever. Tout doucement le jeans devenus trop serré était partit. Il fessait place à un caleçon noir avec des tâches de peintures bleu fluo. 

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